REMÈDE NATUREL CONTRE L'ALCOOLISME
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- Le 21/08/2020
- Dans SANTE NATURELLE
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l’alcool constitue avant tout une véritable source de plaisir.Toutefois, il est de plus en plus fréquent de voir des consommateurs désemparés, désorientés face à un problème de consommation excessive. Pour vous aider à faire face et à finir avec l’alcoolodépendance, les phytothérapeutes de notre centre (MES PLANTES) vous proposent un remède 100 % naturel. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce remède.
L’alcoolisme : De quoi s’agit-il ?
Encore appelé « alcoolodépendance », l’alcoolisme est une maladie chronique qui se matérialise par une addiction à l’alcool et une consommation incontrôlée de cette boisson. En d’autres termes, il s’agit de l’incapacité d’une personne à maîtriser sa consommation d’alcool. Cette incapacité est généralement caractérisée par une dépendance à la fois physique et émotionnelle aux boissons alcoolisées.
En effet, il est bien conseillé de boire une boisson alcoolisée de temps en temps. Toutefois, une consommation régulière et excessive d’alcool peut malheureusement avoir des conséquences non négligeables sur la santé humaine.
La plupart du temps, l’abus d’alcool est associé à l’ivresse ou à l’alcoolodépendance. Cependant, cette attitude caricaturale permet généralement de stigmatiser certains comportements tout en se donnant des excuses afin de justifier sa propre consommation.
Quels sont les symptômes et les causes de l’alcoolisme ?
Pour toute personne alcoolique, l’alcool devient l’un des piliers de sa vie et il est plus compliqué d’envisager de vivre en s’en privant. En cas d’arrêt, ces personnes sont fragilisées par l’absence de cette béquille et devront affronter les difficultés générées. Le besoin de boire toujours plus, le sentiment de culpabilité face à l’alcool, la perte de contrôle de sa consommation d’alcool, l’invention d’excuses ou d’alibis pour boire sont autant de signes qui permettent de reconnaître une dépendance.
Lorsque la dépendance à l’alcool devient excessive, la personne alcoolique ne parvient plus à s’en passer. Elle pourrait même ressentir des symptômes de sevrage à l’arrêt au fil du temps. Heureusement qu’il existe un remède naturel pour en finir avec l’alcoolisme.
En parlant des causes de l’alcoolisme, cette maladie neurobiologique peut survenir à la suite d’une dépression (après le départ des enfants, la perte d’un emploi, une séparation). Elle peut aussi être causée par un problème psychiatrique.
Quelles sont les conséquences de l’alcoolisme sur la santé ?
La consommation démesurée d’alcool pendant de longues années peut engendrer des conséquences fâcheuses sur la santé du buveur. Comme conséquences, nous pouvons noter :
- les carences en vitamines B1 et B6 ;
- la perturbation du rythme cardiaque ;
- le diabète ;
- l’hypertension artérielle ;
- une maladie de foie (cirrhose) ;
- les ulcères d’estomac et les gastrites ;
- Les lésions cérébrales et cardiaques, etc.
Voici ci-dessus quelques troubles liés à l’alcoolisme. En réalité, une consommation excessive d’alcool peut augmenter le risque de survenue de presque toutes les maladies.
Comment savoir si l’on a un problème avec l’alcool ?
En général, l’alcoolisme se manifeste par une impossibilité de s’empêcher de boire de l’alcool. Il se traduit également par une notion de fréquence et de quantité. Par ailleurs, il est tout à faire possible d’en prendre conscience et d’essayer de se libérer de cette emprise ou dépendance. Pour y arriver, voici une liste de questions que vous devez vous poser chaque fois.
- Est-ce que je bois tous les jours ? Est-ce un réflexe ?
- Bois-je seul ?
- Est-ce que je cherche toujours une bonne raison de boire ?
- La boisson m’aide-t-il à me sentir mieux ?
- Est-ce que je commence à boire de plus en plus tôt dans la journée ?
- La consommation d’alcool m’a-t-il déjà fait prendre des risques (black-out, conduite en état d’ivresse, violences, accidents…) ?
- Est-ce que je tente de cacher aux autres ma consommation d’alcool ?
- Est-ce que je peux passer une semaine sans boire ?
Voici autant de questions qui peuvent vous permettre de prendre conscience de votre niveau de dépendance vis-à-vis des boissons alcoolisées. Si vous avez répondu OUI à 1 ou 2 de ces questions, il faut commencer à réfléchir à votre consommation d’alcool.
Si vous avez plus de réponses positives, parlez-en à votre médecin ou contactez le centre de phytothérapie MES PLANTES. Le centre met en place pour vous un remède naturel pour en finir avec l’alcoolisme.
Quels sont les effets d’une consommation régulière d’alcool sur le cerveau ?
Les effets de l’alcool
L’alcool fait partie des substances psychoactives. À ce titre, il agit directement sur le fonctionnement du cerveau. Il modifie la conscience et la perception des informations et donc le comportement que le buveur va avoir en réponse à ce qu’il perçoit.
Les effets varient selon la quantité d’alcool ingérée. Jusqu’à 0,5 gr/L, l’alcool a un effet stimulant et il désinhibe, les tâches cognitives sont effectuées plus rapidement, avec une sensation subjective de facilité, mais un taux d’erreur plus important que lorsque l’on est sobre. Au-delà de 0,5 gr/L, l’alcool a un effet sédatif et vient perturber les fonctions motrices (équilibre, coordination…).
Quels sont les effets sur un cerveau jeune ?
Le cerveau continue son développement jusqu’à l’âge de 25 ans. Or, une consommation excessive d’alcool provoque un remodelage des connexions entre les neurones. Lorsque les jeunes boivent, le développement normal de leur cerveau est donc perturbé, augmentant notamment les risques de dépendance.
Alcool et cerveau : les mécanismes physiologiques en jeu
Des scientifiques de l’université de Caroline du Nord ont mis à jour le fonctionnement cérébral de l’alcool. Pour aller loin dans leur recherche, ils ont soumis des rats à des régimes riches en éthanol et ont observé les effets.
Résultats : L’éthanol inhibe les récepteurs NMDA (N-methyl, D-Aspartic acid), une pièce clé de la transmission de l’influx nerveux dans le cerveau. « Les récepteurs NMDA activent les régions cérébrales qui contrôlent nos comportements alors que l’alcool empêche cette activation » précise la Dr Hélène Ollat, attachée au service neurologie de l’hôpital Lariboisière et directrice de l’Association pour la Neuro-Psycho-Pharmacologie. Ceux-ci interviennent dans le processus de mémorisation.
Ils sont en effet activés par le glutamate, un neurotransmetteur excitateur du système nerveux central chez l’homme. Les synapses constituent les zones d’échanges d’informations entre ces neurones. À ce niveau, l’information est échangée sous forme de messages chimiques.
Des substances chimiques appelées « neurotransmetteurs » (dans ce cas le glutamate) sont sécrétées et se lient à des récepteurs spécifiques, les NMDA. C’est à ce niveau d’échange d’informations qu’influe l’alcool.
Si cette étude ne présente pas de nouvelles perspectives thérapeutiques, elle permet de mieux comprendre les mécanismes de l’alcool sur le cerveau et conforte les partisans de la reconnaissance de l’alcoolisme comme maladie mentale.
Alcool : une dépendance psychologique et physiologique
L’accoutumance intervient en effet à deux niveaux. Dans un premier temps, on distingue une dépendance comportementale. Par habitude, l’alcool est intimement lié à l’ambiance de fête, au lien social, on peut notamment souffrir d’alcoolisme mondain.
Dans un second temps, on note un phénomène d’accoutumance avec activation du processus de récompense. Les personnes boivent pour se faire plaisir, mais les effets s’estompant, il faut augmenter les doses.
Les structures cérébrales ne parviennent plus à maîtriser le processus de décision, le libre arbitre de l’individu est atteint. Des régions telles que le cortex préfrontal et l’hippocampe sont principalement touchées. Ces zones cérébrales sont liées à la mémoire et aux fonctions mentales supérieures.
La dépendance à l’alcool est le résultat d’une lente adaptation de mécanismes cérébraux normaux à une situation nouvelle. Les réseaux neuronaux se réorganisent. Ils apprennent à fonctionner différemment. Cette dépendance s’installe de façon insidieuse.
Des années peuvent s’écouler avant que le buveur ou son entourage ne réalisent qu’il y a un problème. Vous pouvez vous réjouir. Voici pour vous, un remède naturel pour en finir avec l’alcoolisme.
Quel remède naturel pour en finir avec l’alcoolisme ?
Remède pour dire NON à l’alcool
À partir de nos plantes, il est bien possible de mettre fin à la dépendance d’alcool. Pour quelqu’un qui boit beaucoup et qui se crée des problèmes de santé, voici ce qu’il faut faire :
- Prenez de l’eau simple ;
- Lavez-lui la tête ;
- Récupérez cette eau dans un bol ;
- Cherchez les racines de calotropis procera, ou amonman ou kpintwé ou encore walagachiman ;
- Mettez les racines en petits morceaux que vous introduisez dans une bouteille ;
- Ajoutez environ 4 cuillerées à soupe de l’eau issue du lavage de la tête de l’individu ;
- Ajoutez ensuite la boisson que la personne a l’habitude de boire ;
- Laissez macérer pendant trois jours puis remettez-lui la bouteille en guise de cadeau et oubliez-le.
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