ADÉNOCARCINOME DE LA VERGE (IRM)/Traitement naturel

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  • Le 21/08/2020
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ADÉNOCARCINOME DE LA VERGE (IRM)

 
 
 
 
Le cancer du pénis prend naissance à l’intérieur ou à la surface du pénis. Il le fait le plus souvent dans les cellules de la peau du pénis. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir et détruire le tissu voisin. Elle peut aussi se propager (métastases) à d’autres parties du corps.
L'INCIDENCE DES TUMEURS DU PÉNIS EST VARIABLE SELON LES PAYS...
ÉPIDÉMIOLOGIE

C'est un cancer très rare en Europe mais en forte augmentation. En France, l'incidence est estimée à 1 cas pour 100 000 hommes, soit moins de 300 cas par an.
Il survient généralement à la soixantaine avec un maximum vers 80 ans.
Environ 90 % des tumeurs apparaissent au niveau du gland et/ou du prépuce. Les tumeurs primitives du corps pénien sont beaucoup plus rares, en revanche les tumeurs secondaires, localisées aux corps caverneux, témoignent d’une maladie systémique.
TRAITEMENT DAWABIO
Nous vous proposons ici un mélange de graines, de racines et d’écorces d’Afrique qui permettent de prévenir et de guérir du cancer ( cancer du pénis ,cancer du sein, cancer du foi, cancer de la prostate, cancer de la tyroide, cancer du col de l’utérus, cancer du rein) et les maladies cardiovasculaires. Ces plantes sont très peu connues des scientifiques et elles possèdent des qualités extraordinaires contre le cancer. Leur utilisation contre le cancer est bien plus efficace que la chimiothérapie.
Riche en antioxydants et en oligo-éléments, nos plantes pour guérir du cancer retardent le développement des cellules cancéreuses grâce à un pigment qu’elles renferme, la  phycocyanine.l’extrait de racine tue les cellules de façon très sélective. Les cellules saines ne sont pas été tuées, alors que les cellules cancéreuses oui.Notre traitement naturel tue le cancer de façon entièrement naturel sans nausées, ni perte de poids, ni perte de cheveux, tout en protégeant le système immunitaire.
Personne ne peut vous dire que ces plantes guérissent définitivement n’importe quel type de cancer, ce serait mentir. Mais grâces à ces plantes, vous pouvez améliorer la qualité de vie des patients atteints par le cancer, un fait vérifié. Mieux encore, elles peuvent même soulager certains symptômes du cancer ! Comment ça marche ?
Ces plantes africaines sont de puissants antimicrobiens et antifongiques. Elles permettent d’arrêter les processus métastatiques en réduisant la taille des tumeurs. Cela freinera de manière considérable l’avancée du cancer.
Cependant, même si ces racines sont très efficaces, nous vous recommandons de les accompagner par les traitements conventionnels. Nous ne vous demandons absolument pas d’abandonner le traitement que vous suivez contre votre cancer. En effet, il ne faut jamais laisser totalement de côté un traitement médical pour commencer une thérapie issue de la médecine naturelle africaine à base de plantes. Vous mettrez votre santé et votre vie en danger. Notre traitement naturel anti cancer devra être combiné avec la thérapie conventionnelleCliquez ici pour découvrir notre traitement
 


LES FACTEURS DE RISQUE

Le phimosis


Le cancer de la verge survient essentiellement chez les sujets n'ayant pas subi de circoncision et pour lesquels une hygiène locale n'est pas suffisante.
Un phimosis est associé dans 25 à 75 % des cancers de verge.
Le rôle carcinogène d’une irritation chronique par le smegma est évoqué. Le smegma est secrété par les glandes sébacées situées sur la surface interne du prépuce et sert à nettoyer et lubrifier le gland.

Les maladies sexuellement transmissibles (MST)
c
Elles représentent un facteur de risque reconnu, en particulier les infections par herpès virus.
Les infections à Papillomavirus (HPV), surtout du type 16 et 18 (oncogènes), favorisent la survenue de la maladie et sont retrouvées dans plus de la moitié des cas.

Les autres facteurs

Le tabac et la photo-chimiothérapie avec utilisation de psoralène et d’ultraviolet A ont été incriminés.

LES FORMES DE LA MALADIE

Sur le plan histologique


Le carcinome in situ est appelé érythroplasie de Queyrat*, s’il siège sur le gland, le prépuce ou le corps de la verge et, maladie de Bowen, s’il touche sur le reste des organes génitaux ou sur le périnée (du latin : perineum, autour des voies évacuatrices).
Dans 95 % des cas, il s’agit de lésions épidermoïdes.
Il existe sous deux formes :
De lésion papillaire exophytique qui a une évolution ganglionnaire tardive et rare
De lésion ulcéro-infiltrante qui est rapidement associée à une atteinte ganglionnaire dont le pronostic est plus péjoratif
Les autres formes sont des tumeurs basocellulaires, des mélanomes, des sarcomes, une maladie de Kaposi ou des métastases d’autres tumeurs.

Le siège de la tumeur

La majorité des carcinomes épidermoïdes ont un point de départ au niveau du gland.
Plus rarement, dans environ 20 % des cas, il affecte le prépuce et encore plus rarement, la couronne ou les corps caverneux.
* Louis Queyrat : dermatologue français (1856-1933)
LE DIAGNOSTIC
LES SIGNES

Il s'agit, le plus souvent, d'une tumeur visible affectant le pénis. 
Parfois, un phimosis, le plus souvent ancien, changeant d'aspect, peut amener à consulter.
Des douleurs peuvent aussi être révélatrices de la maladie.

LE BILAN

A l'examen, le spécialiste constate l'existence, dans deux tiers des cas, d'une tumeur du gland ou du sillon balano-préputial qui se présente  souvent sous la forme d’une tâche érythémateuse qui s’ulcère.
Le diagnostic de certitude est anatomo-pathologique après réalisation d'une circoncision large.
Outre l'examen clinique, une IRM pénienne permettent d'apprécier l'extension en profondeur.
LA STADITIFICATION TNM DE 2009
LE CONTEXTE

Il s'agit d'un cancer très lymphophile qui peut toucher rapidement les ganglions superficiels et profonds, de l’aine (triangle de Scarpa*), puis les ganglions iliaques.
A distance, les métastases sont volontiers pulmonaires ou hépatiques.

LES VALEURS DE T,N,M

Tumeur (T)
T0    Pas de tumeur palpée
Tis    Carcinome in situ
Ta    Carcinome verruqueux non infiltrant
T1    Tumeur envahissant le tissu conjonctif sous-épithélial :
T1a    Grade 1-2 sans invasion lymphovasculaire
T1b    Grade 3-4 ou invasion lymphovasculaire
T2    Tumeur envahissant le corps spongieux ou caverneux
T3    Tumeur envahissant l’urètre
T4    Tumeur envahissant d’autres structures adjacentes
Ganglions (N)
N0    Pas de ganglion inguinal palpé
N1    Palpation d’un seul ganglion unilatéral mobile
N2    Palpation de ganglions multiples ou bilatéraux mobiles
N3    Ganglions inguinaux fixés ou ganglions pelviens, unilatéraux ou bilatéraux
Métastases (M)
M0    Pas de métastase à distance
M1    Métastases à distance
Grade(G)
G1    Bien différencié
G2    Moyennement différencié
G3    Faiblement différencié
G4     Indifférencié
 
L'UICC décrit, pour cette maladie 4 stades, définis en fonction de la taille de la tumeur.
Stade I : tumeur limitée au gland ou au prépuce
Stade II : infiltration des corps caverneux
Stade III : présence d'adénopathies métastatiques
Stade IV : adénopathies inextirpables ou métastases viscérales
* Antonio Scarpa (1752 – 1832) chirurgien et anatomiste italien 
 
LES TRAITEMENTS
LA CHIRURGIE

Le traitement local doit être agressif car, au début, le cancer de la verge est essentiellement une maladie locale.
Les techniques proposées varient d'une simple circoncision avec examen extemporané péri-tumoral jusqu'à l'amputation totale de verge en passant par l'amputation partielle.
Une urétérostomie périnéale est donc parfois nécessaire.
Une lymphadénectomie inguinale et/ou iliaque (curage ganglionnaire) est nécessaire en cas de localisations ganglionnaires.

LA CURIETHÉRAPIE

La curiethérapie est une option validée pour les cancers de stade T1b ou T2.
Elle est précédée, 10 à 14 jours par une circoncision large, réalisée idéalement dans le même temps que la procédure du ganglion sentinelle.
Le traitement est fait en débit de dose pulsé ou en bas débit de dose (fils d’iridium), plus rarement en haut débit de dose. La prescription est de 60 à 65 Gy dans le volume cible et le débit de dose est de 0,4 à 0,6 Gy/h.
L’implantation est réalisée après cicatrisation de la circoncision, sous anesthésie générale ou péridurale et comporte
La mise en place d’une sonde urinaire ;
L'implantation d’aiguilles interstitielles (espacement idéal de 12 à 18 mm),
 
LES AUTRES OPTIONS

La radiothérapie externe (RTE) peut être une option.
La chimiothérapie est, quant à elle, surtout utilisée en cas de dissémination de la maladie : adénopathie(s) fixée(s) ou métastase(s).
LE TRAITEMENT SELON LE STADE
Tis - Ta - T1, N0, M0

Certaines tumeurs de  stade pTis ou pTa peuvent être traitées localement par des crèmes cytotoxiques (5-fluoro-uracile ;  imiquimod 5 %°. Pour ces lésions, un traitement par laser est envisageable
Plus souvent, l'option raisonnable est une amputation partielle de la verge ou une curiethérapie.
Le curage ganglionnaire n'est pas systématique.

T2 -T3, N0, M0

Le traitement de la tumeur primitive comporte une amputation de verge. Selon l'importance de l’atteinte des corps caverneux, l'amputation peut être partielle ou totale avec uréthrostomie périnéale.
Le curage ganglionnaire superficiel bilatéral est systématique.
La curiethérapie interstitielle par fils d’iridium 192 est une option possible.

Tout T,N+,M0

Si les ganglions, N1-N2, ne sont pas fixés, le traitement implique un curage superficiel bilatéral et profond est l'option habituelle.
Si les ganglions, N1-N2, sont fixés, une chimiothérapie 5-FU + cisplatine +/- bléomycine est une option.
L'alternative est une irradiation de 55-60 grays.
LE SUIVI
Habituellement, les visites de suivi sont d'abord semestrielles puis la fréquence diminue avec le temps.
La durée du suivi est dans tous les cas de 5 ans minimum car 90 % des récidives sont dans les 5 premières années dont 75 % dans les 2 premières années.
LE PRONOSTIC
GLOBALEMENT

Le taux de survie à 5 ans selon les dernières statistiques publiées est 62 %. A 10 ans, ce taux varie selon l'âge et est de l'ordre de 60 %.

SELON LA TUMEUR

Aux stades initiaux, T1 et T2, le taux de malades en vie, à 5 ans, est de 70 à 90 %.
Aux stades avancés de la maladie, T3, le pourcentage de malades en vie, à 3 ans, est de 30 %.
        
 
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